Les infections respiratoires

Les infections respiratoires demeurent une cause de morbidité importante pour certaines populations vulnérables, malgré la disponibilité de traitements et les mesures de prévention et de contrôle mises en place. L’Institut contribue à la surveillance des infections respiratoires, notamment par ses activités de laboratoire et par ses études sur le fardeau des maladies.

Travaux et services en continu

  • Analyses de référence pour les Legionella sp. 

    Laboratoire de santé publique du Québec
  • Analyses spécialisées en lien avec les maladies respiratoires sévères infectieuses 

    Laboratoire de santé publique du Québec
  • Estimation de l’incidence des infections respiratoires principalement par le biais du réseau sentinelle de surveillance des virus respiratoires en centre hospitalier 

    Risques biologiques
  • Participation à la mise à jour des fiches du guide sur la légionellose 

    Risques biologiques, Laboratoire de santé publique du Québec
  • Participation à la préparation du bulletin Flash grippe

    Risques biologiques, Laboratoire de santé publique du Québec
  • Service centralisé de confirmation et caractérisation phénotypique et génique des souches tuberculeuses (Mycobacterium complexe tuberculosis) et non tuberculeuses (Mycobacterium chimaera et autres)

    Laboratoire de santé publique du Québec
  • Suivi hebdomadaire des virus respiratoires et soutien à la production des indices d’activité grippale 

    Laboratoire de santé publique du Québec
  • Surveillance des infections respiratoires au Nunavik 

    Risques biologiques

Livrables attendus

2018

  • Estimation du fardeau des hospitalisations et des décès attribuables à l’influenza et aux autres virus respiratoires au Québec à partir des bases de données existantes 

    Risques biologiques
  • Mise en place d’un programme de sous-typage influenza en début de saison grippale à des fins de surveillance

    Laboratoire de santé publique du Québec

2019

  • Évaluation de l’impact et analyse économique des nouvelles recommandations d’utilisation de l’anticorps monoclonal palivizumab chez les enfants de moins de 3 mois en bonne santé du Nunavik

    Risques biologiques