Conseiller scientifique spécialisé et coordonnateur d’équipe

Patrick Poulin est titulaire d'un baccalauréat en géologie de l’environnement, d’une maîtrise en sciences de la terre (géochronologie) et d’un doctorat en océanographie (écotoxicologie). Il a joint les rangs de l’Institut national de santé publique du Québec en 2009 pour travailler sur des problématiques sanitaires en lien avec le rayonnement ionisant. Patrick est particulièrement impliqué dans les dossiers portant sur des thématiques comme la qualité de l'air intérieur, l'exploitation des ressources naturelles et l’évaluation des risques environnementaux.

Conseiller scientifique spécialisé

Stéphane Buteau travaille en santé environnementale à l’INSPQ depuis 2006. Il est titulaire d’une maitrise en santé environnementale et santé au travail, ainsi que d’un doctorat en médecine expérimentale (option environnement). Ses travaux portent principalement sur l’estimation des risques et des impacts sanitaires de la pollution de l’air extérieur. Stéphane contribue aussi au développement de la surveillance en lien avec les facteurs de risque environnementaux. Son expertise en épidémiologie et en évaluation des risques toxicologiques lui ont permis de contribuer à divers autres dossiers, comme les sols contaminés, l’amiante, la fluoration de l’eau, la COVID-19, les lieux d’enfouissement technique.

Conseillère scientifique spécialisée

Marie-Eve Dubuis est titulaire d’un baccalauréat, d’une maîtrise et d’un doctorat en microbiologie. Durant son parcours universitaire, elle a développé son expertise en étudiant les aérosols d’origine biologique et plus particulièrement les virus responsables d’éclosions. Elle a rejoint l’Institut national de santé publique du Québec à l’été 2021 en tant que conseillère scientifique spécialisée dans l’équipe scientifique sur l’air. Ses principaux mandats touchent la COVID-19 et la qualité de l’air intérieur.

Médecin conseil

Isabelle Goupil-Sormany est titulaire d’une spécialité en santé publique et médecine préventive, d’une formation complémentaire (fellowship) en promotion de la santé en santé environnementale, d’une maîtrise en santé publique et d’un certificat en communication publique. Forte d’une expérience pratique en direction régionale de santé publique et en gestion depuis 15 ans, elle a rejoint l’INSPQ à l’été 2021 comme spécialiste de l’évaluation et la gestion des risques liés aux principaux contaminants de l’air.

Conseillère scientifique

Marie-Claude Lefebvre est titulaire d’un baccalauréat en pharmacie et d’une maîtrise en santé publique, volet santé environnementale. Après avoir travaillé en pharmacie communautaire pendant plus de 10 ans, elle a rejoint les rangs de l’équipe scientifique sur l’air de l’Institut national de santé publique du Québec à l’automne 2021 en tant que conseillère scientifique. Elle travaille notamment sur les effets sanitaires de la climatisation, de la chaleur en milieu intérieur, du radon et des fumées de feux de forêt.

Chercheure associée à l’ESA, professeure à l’Université de Montréal

Audrey Smargiassi détient un doctorat en sciences de l’Environnement. Elle est professeure titulaire au Département de santé environnementale et santé au travail de l’École de santé publique de l’Université de Montréal. Elle est chercheure associée à l’INSPQ où elle offre son expertise sur les risques sanitaires associés à l’exposition aux polluants atmosphériques. Elle a développé un certain nombre d'approches pour estimer l'exposition de grandes populations à différents polluants atmosphériques et à d'autres facteurs environnementaux comme la chaleur et le bruit. Elle a mené de nombreuses études épidémiologiques pour estimer les risques pour la santé associés aux expositions environnementales, à l'aide de données gouvernementales et d'enquêtes. Elle dirige des travaux multidisciplinaires visant à évaluer les gains et les impacts des projets d'aménagement du territoire et de transport à Montréal, notamment sur les émissions de CO₂ et sur divers impacts sur la santé. Une part importante de ses travaux visent à orienter les interventions de santé publique.